17 octobre 2021 | Au nom de tous les membres du Cornwall Sunrise Rotary Club et des femmes bénévoles du projet « Go with the Flow », j’aimerais remercier du fond du cœur le Club de tricot « Les Joyeuses Tricoteuses » du Centre de santé communautaire de l’Estrie (CSCE) pour leur don très généreux de poupées de laine.
Ces magnifiques poupées seront distribuées à des enfants dans le besoin du Ghana, de l’Ouganda, de Madagascar, du Salvador et/ou de la Colombie. Ayant des projets humanitaires en cours dans chacune de ces régions, nous savons que les enfants seront ravis de recevoir un si beau cadeau.
Nous sommes réellement impressionnés par vos talents à créer des habits aussi colorés et uniques pour ces poupées. Nous saluons votre grande créativité et votre dévouement.
Merci beaucoup d’apporter un moment de joie à ces enfants et de nous aider à « Servir pour changer des vies » durant l’année à venir.
Sincèrement,
Sharon Miller, gestionnaire de projet
Cornwall Sunrise Rotary Club
Dans le cadre de la Semaine de la santé et du bien-être communautaire qui aura lieu du 4 au 10 octobre 2021, nous, le Centre de santé communautaire de l’Estrie (CSCE), soulignons notre travail visant l’atteinte d’un état de santé et de bien-être optimal pour toute personne vivant dans Stormont, Dundas, Glengarry, Prescott et Russell. Il s’agit d’un moment opportun pour faire un retour sur le travail accompli pendant l’année afin d’éliminer les obstacles à l’accès aux soins, de fournir des soins de santé primaires et de santé mentale et d’offrir des programmes et services aux membres de notre communauté, incluant les personnes marginalisées.
Pendant la pandémie de la COVID-19, nous nous sommes adressés aux obstacles à la santé et au bien-être, dont le racisme systémique, la pauvreté, l’insécurité alimentaire, le manque de logements abordables, l’accès limité ou inexistant à Internet et l’isolement social. Le personnel et les bénévoles du CSCE ont répondu aux besoins de la communauté.
Nous travaillons toujours à l’élimination des causes des disparités en santé dans nos communautés. Nombre de personnes décèdent prématurément, subissent de la discrimination relativement à l’accès aux services de santé ou vivent avec des maladies évitables. Les répercussions de la pandémie ne sont pas les mêmes pour tous et sont disproportionnées pour les personnes noires et racialisées, les communautés autochtones et 2SLGBTQ+, les aînés isolés, les personnes en situation d’itinérance et celles ayant des problèmes de santé mentale et de dépendances. Ces communautés font toujours face à des obstacles; donc notre travail est d’assurer que tout le monde puisse s’occuper de sa santé et de son bien-être.
Alors que l’Ontario prend des mesures vers sa réouverture et que nous nous préparons à l’après-pandémie, nous continuerons nos efforts pour un avenir équitable pour tous. La pandémie nous a montré que les systèmes ne fonctionnent plus pour de nombreuses personnes. Il reste beaucoup de travail à faire pour créer un avenir plus équitable pour chaque personne de notre communauté.
Nous sommes membre de l’Alliance pour des communautés en santé, un réseau dynamique de plus de 100 organisations de soins de santé primaires de la province gérées par des communautés qui offrent des soins de santé et de santé mentale et des ressources communautaires intégrés aux personnes qui font face à des obstacles sociétaux.
#CHWW2021
Chaque personne compte. Every One Matters.
Le 27 septembre 2021 | Le CSCE a reçu l’approbation officielle afin de faire partie de la nouvelle équipe Santé Ontario du Haut-Canada, de Cornwall et de la région (ESO HCCR), en compagnie de 32 autres partenaires travaillant ensemble à l’amélioration des soins de santé dans les Comtés unis de Stormont, Dundas et Glengarry, la ville de Cornwall, Akwesasne, certaines parties du canton de Russell ainsi que le Sud-Est rural d’Ottawa.
Les ESO fournissent des soins mieux intégrés en éliminant les obstacles pouvant exister entre les fournisseurs de soins de santé et les secteurs géographiques. Elles regroupent divers services de santé, y compris les suivants : médecins et infirmières praticiennes, hôpitaux, soins à domicile et communautaires, services de soutien communautaire, services de santé mentale et de lutte contre les dépendances, centres de santé communautaire et soins de longue durée.
À terme, on veut que les gens du secteur passent plus facilement d’un fournisseur de soins à un autre, par exemple de l’hôpital aux fournisseurs de soins à domicile ou aux foyers de soins de longue durée, avec un historique des antécédents, un dossier de patient et un plan de soins.
La vision de l’ESO du Haut-Canada, de Cornwall et la région est la suivante : « Là où la santé et le bien-être de chacun comptent ».
https://www.cornwallhospital.ca/fr/Salledesnouvelles?newsid=5482
Pour minimiser l’impact de la pauvreté sur la grossesse, l’organisme Groupe Action offre un nouveau programme de soutien aux femmes enceintes à faible revenu de la région de Prescott-Russell. Ce programme est disponible avec l’appui du fonds de secours pour les services sociaux.
Si vous planifiez donner naissance à l’Hôpital Montfort, vous pouvez également participer à une étude menée par l’Université d’Ottawa et recevoir 110$.
CORNWALL | Le 21 juin, lors de l’assemblée générale annuelle de l’Association canadienne pour la santé mentale (ACSM) Champlain Est, Ivan Labelle, agent de santé communautaire au Centre de santé communautaire de l’Estrie (CSCE), et Stephen Douris, fondateurs du groupe de soutien pour hommes MenTALK – K homme’unique, ont reçu le prix distinction Earl Eaton. Ce prix leur a été remis en reconnaissance de leur engagement et leur contribution significative au mouvement pour la santé mentale des hommes dans notre communauté.
En voulant aider les hommes à ne plus souffrir en silence, M. Labelle et M. Douris ont rencontré un grand défi. En effet, même si les hommes et les femmes sont touchés de façon égale par les enjeux de santé mentale, les hommes sont moins enclins à aller chercher l’aide dont ils ont besoin. De plus, lorsqu’un homme se décide à aller chercher de l’aide, il peut avoir de la difficulté à trouver le type de thérapie qui lui convient. Habituellement, les hommes préfèrent les rencontres de groupes informelles orientées vers l’action plutôt que les sessions de thérapie individuelle. Malheureusement, ce genre de service n’est pas toujours disponible, surtout dans les petites communautés.
Les fondateurs du groupe ont découvert que, lorsqu’on leur offre un espace et un environnement propice, les hommes sont plus ouverts à parler de leur santé mentale. Le groupe a commencé avec seulement quelques membres, et maintenant, il en compte plus de 50. MenTALK – K homme’unique change la vie des hommes, une personne à la fois. Le groupe aimerait également s’installer dans d’autres communautés, puisque les besoins pour ce type de service continuent de grandir.
Pourquoi les hommes ont-ils moins tendance à aller chercher de l’aide lorsqu’ils font face à des problématiques entourant la santé mentale? Les experts soulignent que la pression sociale représente un facteur important. Les hommes canadiens sont environ trois fois plus susceptibles que les femmes de développer une dépendance quelconque, que ce soit à l’alcool, au cannabis ou aux opioïdes. De plus, les hommes représentent 75 % des cas de suicide au pays.
Les hommes ne sont pas les seuls à souffrir de la stigmatisation rattachée à la santé mentale; mais ils peuvent être réticents à discuter de leurs problèmes ou à demander de l’aide en raison de leur conditionnement. En tant que société, nous pouvons lutter ensemble contre les préjugés à propos de la santé mentale et encourager les gens à discuter ouvertement de leurs problèmes. Plus nous sommes à l’aise d’en parler, meilleure sera notre société.
Pour plus d’information sur le groupe MenTALK – K homme’unique, communiquez avec Ivan Labelle au 613 937-3132, poste 232.
Association canadienne pour la santé mentale (ACSM) Champlain Est (source) :
https://www.cmha-east.on.ca/
Sur la photo : Stephen Douris et Ivan Labelle
Sur la photo: Angele D’Alessio (ACSM), Stephen Douris, Ivan Labelle, Joanne Ledoux-Moshonas (ACSM) et Angela Warren (ACSM)
Cornwall, 9 juin 2021 – Le mode virtuel prend de plus en plus sa place dans notre quotidien et c’est dans cet esprit que nous vous invitons à consulter le rapport annuel 2020-2021 en ligne du Centre de santé communautaire de l’Estrie (CSCE). L’adaptation au travail dont notre personnel a fait preuve pour maintenir des services de haute qualité répondant aux multiples besoins de la clientèle a encore une fois été mise à l’avant-plan cette année. Vous remarquerez aussi l’ouverture au changement manifestée par les clients et clientes de chacun de nos emplacements. Cette résilience est une autre preuve que votre CSCE est là pour vous et pour votre mieux-être.
En ces temps exceptionnels, le CSCE a tenu le mercredi 9 juin 2021 sa trente et unième assemblée annuelle en format virtuel. Monsieur Jean-François Pagé, président du conseil d’administration, et Monsieur Marc Bisson, directeur général du CSCE, ont animé la rencontre. Ils ont entre autres présenté le rapport du comité de mise en nomination des postes à pourvoir au sein du conseil d’administration et le rapport financier 2020-2021. Ils ont également reconnu le travail des membres sortants du conseil d’administration et du personnel œuvrant au CSCE depuis un certain nombre d’années.
Voici des faits saillants qui illustrent quelques réalisations du CSCE en 2020-2021 :
Eau? Café? Jus? Eau gazéifiée? Quel est le meilleur moyen de s’hydrater? L’hydratation fait partie des saines habitudes de vie quotidiennes et elle est essentielle dans la prévention de la déshydratation. Au cours des dernières semaines, la chaleur nous a sans doute incités à déguster quelques boissons rafraîchissantes. Il faut cependant demeurer vigilant en faisant nos choix. Bien que plusieurs boissons soient désaltérantes et agréables au goût, elles peuvent toutefois contenir de grandes quantités de sucre.
Cette croyance populaire n’est pas tout à fait juste. En effet, la quantité de liquide dont vous avez besoin chaque jour dépend de votre âge, sexe et niveau d’activité physique. Un temps chaud et humide pourrait aussi faire augmenter vos besoins. Bien que l’eau devrait en combler la majorité, le lait, les boissons végétales, le thé, les tisanes et les cafés sont tous inclus dans la quantité de liquide recommandée par jour. Il est conseillé de boire entre 9 tasses (femme) et 12 tasses (homme) de liquide tous les jours, en limitant toutefois la consommation de jus de fruits (purs à 100% ou non) et de boissons sucrées (boissons gazeuses, thés glacés, eaux vitaminées ou boissons énergétiques).
Vous préférez l’eau gazéifiée? Cette dernière représente une bonne façon de s’hydrater. De plus, les eaux gazéifiées peuvent combler notre envie de pétillant et constituent donc un excellent remplacement aux boissons gazeuses riches en sucre. Par contre, il ne faut pas oublier que l’eau gazéifiée contient du gaz carbonique, ce qui peut causer des inconforts chez les personnes ayant des problèmes digestifs (gaz, ballonnements, reflux gastriques) ou chez celles souffrant du syndrome de l’intestin irritable. En ce qui concerne la caféine, essayez d’en limiter votre consommation à 3 tasses par jour, ou optez pour des boissons décaféinées.
Les liquides sont essentiels à de nombreuses fonctions corporelles. Les liquides permettent de réguler notre tension artérielle, d’ajuster notre température corporelle et sont indispensables pour diminuer les risques de déshydratation et de coup de chaleur.
La déshydratation peut toucher tous les adultes, mais les personnes âgées sont plus à risque. Il est donc très important de demeurer vigilant. La déshydratation chez les personnes âgées peut entraîner des étourdissements, des évanouissements et de l’hypotension, ce qui pourrait causer des chutes.
Lorsque nous percevons la soif, notre corps nous envoie le signal d’une légère déshydratation. Il est donc possible d’être déshydraté bien avant que les autres signes n’apparaissent. Alors, soyez attentif à vos signaux de soif ainsi qu’aux symptômes de la déshydratation, et n’hésitez pas à boire dès que vous en percevez le besoin.
En conclusion, l’eau demeure le meilleur moyen pour rester hydrater tout au long de l’année, et plus particulièrement durant la saison estivale. L’eau est la façon la plus efficace et la moins coûteuse d’étancher votre soif et de prévenir la déshydratation. Bien que les autres boissons comme le lait, le thé, le café et le jus comptent dans la consommation quotidienne de liquide, essayez d’opter pour l’eau le plus souvent possible. Soyez attentif à vos signaux de soif et aux symptômes de la déshydratation, et surtout, n’oubliez pas de boire plus d’eau dans les moments plus chauds ou durant l’activité physique.
Isabelle Leclerc est diététiste au Centre de santé communautaire de l’Estrie à Embrun. Elle rencontre des clients de façon individuelle pour discuter de leurs objectifs nutritionnels et travaille avec eux pour améliorer leur alimentation. Elle fait aussi partie de l’équipe du Programme d’éducation sur le diabète en tant qu’éducatrice agréée en diabète. Selon les besoins de la communauté, elle offre également des programmes de groupe et présentations diverses.
* Cet article a été publié dans le magazine Vivre + de la FARFO, édition juin 2021.
En mai 2021, la toute première édition virtuelle de « La course contre la drogue » a été présentée aux élèves de 6e et 7e années de Stormont, Dundas, Glengarry et Akwesasne.
Depuis 23 ans maintenant, « La course contre la drogue » informe les jeunes sur les effets dangereux de la drogue et leur enseigne à dire « NON ».
Le 12 mai 2021, plus de 500 élèves francophones ont visionné les présentations des policiers, des ambulanciers ainsi que de plusieurs autres partenaires communautaires afin d’en apprendre sur les impacts physiques, mentaux, sociaux et légaux de l’abus de drogue et d’alcool.
Le lendemain, soit le 13 mai 2021, ce fut au tour des 1500 élèves des écoles anglophones de Stormont, Dundas, Glengarry et Akwesasne d’assister à l’événement.
« La course contre la drogue » sera aussi diffusée tout au long du mois de mai sur les ondes de YourTV Cornwall.
L’édition de cette année a été dédiée à M. Gaëtan Simard, décédé le 12 mai 2021 à l’âge de 82 ans. Enseignant dévoué et fier membre fondateur du Club Optimiste de la Région de Cornwall, il a fait partie du comité de « La course contre la drogue » pendant 20 ans. Nous le remercions sincèrement pour sa grande implication dans la cause durant toutes ces années. Nos pensées accompagnent sa famille et ses amis.
Certaines personnes disent parfois : « J’ai perdu l’appétit, ça devrait m’aider à manger moins et à maigrir! ». Mais perdre l’appétit n’est jamais bon signe… et perdre du poids pour cette raison l’est encore moins!
D’ailleurs, la perte d’appétit est particulièrement préoccupante et devient souvent un signal d’alarme chez les plus de 70 ans. Il est rarement recommandé de perdre du poids après cet âge. S’il nous est conseillé d’en perdre pour une raison médicale, nous devons le faire très graduellement pour éviter la perte de masse musculaire et le manque d’éléments nutritifs. Sinon, les conséquences peuvent être très néfastes sur la santé et la qualité de vie.
L’appétit et la faim sont des concepts très importants pour notre santé, et ce, à tout âge. Ils sont contrôlés par certaines des hormones produites par notre corps comme la leptine et la ghréline. Mais l’appétit et la faim sont affectés par plusieurs autres facteurs comme, entre autres, notre environnement, nos émotions et nos habitudes de vie.
Le corps humain est programmé pour envoyer des signaux de faim qui nous dictent quand et combien manger. Malheureusement, ces signaux peuvent être perdus ou faussés pour différentes raisons. Les aliments servent souvent à combler des fonctions autres que les « besoins de survie ».
La faim, pour diverses raisons, sera donc influencée de différentes façons. C’est pourquoi il est essentiel, autant en cas de manque d’appétit ou d’appétit plus grand que nécessaire, de porter une attention à nos besoins de base. Il nous faut comprendre pourquoi notre corps ne communique plus nos besoins réels.
La « faim du ventre » est couramment appelée la « vraie faim ». Elle se présente lorsque le corps doit combler un manque d’énergie et d’éléments nutritifs. En situation idéale, nous devrions ressentir cette faim aux environs du lever, et par la suite, aux 4-5 heures durant la journée. En cas de manque d’appétit, selon la cause et la durée de la perte de la faim, il faut chercher à recréer cette structure pour éviter des manques nutritifs importants. Souvent, si la personne ne peut manger suffisamment, il sera même conseillé de manger plus fréquemment (par exemple aux 2 heures). Nous pouvons aussi enrichir les repas au besoin.
La « faim de la bouche » est plutôt reliée aux saveurs des aliments. En effet, certains aliments sont consommés pour la principale raison d’avoir bon goût. Puisque les goûts diffèrent d’une personne à l’autre, cette faim est naturellement variable pour chacun. Les goûts sont partiellement innés, mais plus souvent acquis selon quels aliments ont fait partie de notre vie et ce qu’ils ont représenté pour nous.
Cette sorte de faim est tout de même importante puisqu’elle nous aide à combler la « faim du ventre », particulièrement en cas de manque d’appétit. La saveur de la nourriture peut certainement nous motiver à manger. À l’opposé, consommer des aliments pauvres en nutriments seulement parce qu’ils ont bon goût peut augmenter le risque de ne pas obtenir les éléments nutritifs nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Il peut également en résulter un apport énergétique excessif qui, lui aussi, peut avoir un effet négatif sur notre état de santé.
La « faim du cœur », quant à elle, représente le besoin de manger qu’ont plusieurs personnes lorsqu’ils vivent une émotion comme le stress, l’ennui, la tristesse, la joie… « Manger ses émotions », comme plusieurs appellent ce comportement, est acquis au travers de notre développement et de nos expériences de vie.
Lorsque nous étions enfants, nous avons tous déjà reçu un bonbon comme récompense ou été consolés avec une crème glacée ou un biscuit. Malheureusement, avec le temps, ces comportements peuvent prendre beaucoup d’ampleur et occasionner des excès nuisibles à la santé. Ce moyen légal, abordable et tellement accessible pour satisfaire les émotions est de plus en plus utilisé. D’ailleurs, les aliments gras, salés et sucrés augmenteraient la production de dopamine au cerveau et ainsi le sentiment de bien-être recherché.
Il est important d’être plus attentif à notre appétit et aux différentes raisons de manger ou de ne pas manger. Avant tout, il ne faut pas oublier que nous devons manger pour nous nourrir et pas seulement pour nous remplir.
Nous devons autant que possible écouter les signes reliés à la faim que nous envoie notre organisme. Savoir les reconnaître, les interpréter et les respecter peut par contre représenter un défi, surtout si ces signes ont été négligés avec le temps et les événements.
Si vous pensez avoir besoin d’aide à ce sujet, vous pouvez communiquer avec l’équipe de nutrition du Centre de santé communautaire de l’Estrie. Plusieurs de nos diététistes offrent aussi le programme de groupe « Craving Change », qui vise à aider les gens qui ont de la difficulté avec certains comportements alimentaires. N’hésitez pas à vous informer.
Mireille Marineau est diététiste au Centre de santé communautaire de l’Estrie à Cornwall en Ontario. Elle rencontre des clients de façon individuelle pour discuter de leurs objectifs nutritionnels et travaille avec eux pour améliorer leur alimentation. Selon les besoins de la communauté, elle offre également des programmes de groupe et présentations diverses.
* Cet article a été publié dans le magazine Vivre + de la FARFO, édition mai 2021.