CORNWALL | Le 21 juin, lors de l’assemblée générale annuelle de l’Association canadienne pour la santé mentale (ACSM) Champlain Est, Ivan Labelle, agent de santé communautaire au Centre de santé communautaire de l’Estrie (CSCE), et Stephen Douris, fondateurs du groupe de soutien pour hommes MenTALK – K homme’unique, ont reçu le prix distinction Earl Eaton. Ce prix leur a été remis en reconnaissance de leur engagement et leur contribution significative au mouvement pour la santé mentale des hommes dans notre communauté.
En voulant aider les hommes à ne plus souffrir en silence, M. Labelle et M. Douris ont rencontré un grand défi. En effet, même si les hommes et les femmes sont touchés de façon égale par les enjeux de santé mentale, les hommes sont moins enclins à aller chercher l’aide dont ils ont besoin. De plus, lorsqu’un homme se décide à aller chercher de l’aide, il peut avoir de la difficulté à trouver le type de thérapie qui lui convient. Habituellement, les hommes préfèrent les rencontres de groupes informelles orientées vers l’action plutôt que les sessions de thérapie individuelle. Malheureusement, ce genre de service n’est pas toujours disponible, surtout dans les petites communautés.
Les fondateurs du groupe ont découvert que, lorsqu’on leur offre un espace et un environnement propice, les hommes sont plus ouverts à parler de leur santé mentale. Le groupe a commencé avec seulement quelques membres, et maintenant, il en compte plus de 50. MenTALK – K homme’unique change la vie des hommes, une personne à la fois. Le groupe aimerait également s’installer dans d’autres communautés, puisque les besoins pour ce type de service continuent de grandir.
Pourquoi les hommes ont-ils moins tendance à aller chercher de l’aide lorsqu’ils font face à des problématiques entourant la santé mentale? Les experts soulignent que la pression sociale représente un facteur important. Les hommes canadiens sont environ trois fois plus susceptibles que les femmes de développer une dépendance quelconque, que ce soit à l’alcool, au cannabis ou aux opioïdes. De plus, les hommes représentent 75 % des cas de suicide au pays.
Les hommes ne sont pas les seuls à souffrir de la stigmatisation rattachée à la santé mentale; mais ils peuvent être réticents à discuter de leurs problèmes ou à demander de l’aide en raison de leur conditionnement. En tant que société, nous pouvons lutter ensemble contre les préjugés à propos de la santé mentale et encourager les gens à discuter ouvertement de leurs problèmes. Plus nous sommes à l’aise d’en parler, meilleure sera notre société.
Pour plus d’information sur le groupe MenTALK – K homme’unique, communiquez avec Ivan Labelle au 613 937-3132, poste 232.
Association canadienne pour la santé mentale (ACSM) Champlain Est (source) :
https://www.cmha-east.on.ca/
Sur la photo : Stephen Douris et Ivan Labelle
Sur la photo: Angele D’Alessio (ACSM), Stephen Douris, Ivan Labelle, Joanne Ledoux-Moshonas (ACSM) et Angela Warren (ACSM)
Cornwall, 9 juin 2021 – Le mode virtuel prend de plus en plus sa place dans notre quotidien et c’est dans cet esprit que nous vous invitons à consulter le rapport annuel 2020-2021 en ligne du Centre de santé communautaire de l’Estrie (CSCE). L’adaptation au travail dont notre personnel a fait preuve pour maintenir des services de haute qualité répondant aux multiples besoins de la clientèle a encore une fois été mise à l’avant-plan cette année. Vous remarquerez aussi l’ouverture au changement manifestée par les clients et clientes de chacun de nos emplacements. Cette résilience est une autre preuve que votre CSCE est là pour vous et pour votre mieux-être.
En ces temps exceptionnels, le CSCE a tenu le mercredi 9 juin 2021 sa trente et unième assemblée annuelle en format virtuel. Monsieur Jean-François Pagé, président du conseil d’administration, et Monsieur Marc Bisson, directeur général du CSCE, ont animé la rencontre. Ils ont entre autres présenté le rapport du comité de mise en nomination des postes à pourvoir au sein du conseil d’administration et le rapport financier 2020-2021. Ils ont également reconnu le travail des membres sortants du conseil d’administration et du personnel œuvrant au CSCE depuis un certain nombre d’années.
Voici des faits saillants qui illustrent quelques réalisations du CSCE en 2020-2021 :
Eau? Café? Jus? Eau gazéifiée? Quel est le meilleur moyen de s’hydrater? L’hydratation fait partie des saines habitudes de vie quotidiennes et elle est essentielle dans la prévention de la déshydratation. Au cours des dernières semaines, la chaleur nous a sans doute incités à déguster quelques boissons rafraîchissantes. Il faut cependant demeurer vigilant en faisant nos choix. Bien que plusieurs boissons soient désaltérantes et agréables au goût, elles peuvent toutefois contenir de grandes quantités de sucre.
Cette croyance populaire n’est pas tout à fait juste. En effet, la quantité de liquide dont vous avez besoin chaque jour dépend de votre âge, sexe et niveau d’activité physique. Un temps chaud et humide pourrait aussi faire augmenter vos besoins. Bien que l’eau devrait en combler la majorité, le lait, les boissons végétales, le thé, les tisanes et les cafés sont tous inclus dans la quantité de liquide recommandée par jour. Il est conseillé de boire entre 9 tasses (femme) et 12 tasses (homme) de liquide tous les jours, en limitant toutefois la consommation de jus de fruits (purs à 100% ou non) et de boissons sucrées (boissons gazeuses, thés glacés, eaux vitaminées ou boissons énergétiques).
Vous préférez l’eau gazéifiée? Cette dernière représente une bonne façon de s’hydrater. De plus, les eaux gazéifiées peuvent combler notre envie de pétillant et constituent donc un excellent remplacement aux boissons gazeuses riches en sucre. Par contre, il ne faut pas oublier que l’eau gazéifiée contient du gaz carbonique, ce qui peut causer des inconforts chez les personnes ayant des problèmes digestifs (gaz, ballonnements, reflux gastriques) ou chez celles souffrant du syndrome de l’intestin irritable. En ce qui concerne la caféine, essayez d’en limiter votre consommation à 3 tasses par jour, ou optez pour des boissons décaféinées.
Les liquides sont essentiels à de nombreuses fonctions corporelles. Les liquides permettent de réguler notre tension artérielle, d’ajuster notre température corporelle et sont indispensables pour diminuer les risques de déshydratation et de coup de chaleur.
La déshydratation peut toucher tous les adultes, mais les personnes âgées sont plus à risque. Il est donc très important de demeurer vigilant. La déshydratation chez les personnes âgées peut entraîner des étourdissements, des évanouissements et de l’hypotension, ce qui pourrait causer des chutes.
Lorsque nous percevons la soif, notre corps nous envoie le signal d’une légère déshydratation. Il est donc possible d’être déshydraté bien avant que les autres signes n’apparaissent. Alors, soyez attentif à vos signaux de soif ainsi qu’aux symptômes de la déshydratation, et n’hésitez pas à boire dès que vous en percevez le besoin.
En conclusion, l’eau demeure le meilleur moyen pour rester hydrater tout au long de l’année, et plus particulièrement durant la saison estivale. L’eau est la façon la plus efficace et la moins coûteuse d’étancher votre soif et de prévenir la déshydratation. Bien que les autres boissons comme le lait, le thé, le café et le jus comptent dans la consommation quotidienne de liquide, essayez d’opter pour l’eau le plus souvent possible. Soyez attentif à vos signaux de soif et aux symptômes de la déshydratation, et surtout, n’oubliez pas de boire plus d’eau dans les moments plus chauds ou durant l’activité physique.
Isabelle Leclerc est diététiste au Centre de santé communautaire de l’Estrie à Embrun. Elle rencontre des clients de façon individuelle pour discuter de leurs objectifs nutritionnels et travaille avec eux pour améliorer leur alimentation. Elle fait aussi partie de l’équipe du Programme d’éducation sur le diabète en tant qu’éducatrice agréée en diabète. Selon les besoins de la communauté, elle offre également des programmes de groupe et présentations diverses.
* Cet article a été publié dans le magazine Vivre + de la FARFO, édition juin 2021.
En mai 2021, la toute première édition virtuelle de « La course contre la drogue » a été présentée aux élèves de 6e et 7e années de Stormont, Dundas, Glengarry et Akwesasne.
Depuis 23 ans maintenant, « La course contre la drogue » informe les jeunes sur les effets dangereux de la drogue et leur enseigne à dire « NON ».
Le 12 mai 2021, plus de 500 élèves francophones ont visionné les présentations des policiers, des ambulanciers ainsi que de plusieurs autres partenaires communautaires afin d’en apprendre sur les impacts physiques, mentaux, sociaux et légaux de l’abus de drogue et d’alcool.
Le lendemain, soit le 13 mai 2021, ce fut au tour des 1500 élèves des écoles anglophones de Stormont, Dundas, Glengarry et Akwesasne d’assister à l’événement.
« La course contre la drogue » sera aussi diffusée tout au long du mois de mai sur les ondes de YourTV Cornwall.
L’édition de cette année a été dédiée à M. Gaëtan Simard, décédé le 12 mai 2021 à l’âge de 82 ans. Enseignant dévoué et fier membre fondateur du Club Optimiste de la Région de Cornwall, il a fait partie du comité de « La course contre la drogue » pendant 20 ans. Nous le remercions sincèrement pour sa grande implication dans la cause durant toutes ces années. Nos pensées accompagnent sa famille et ses amis.
Certaines personnes disent parfois : « J’ai perdu l’appétit, ça devrait m’aider à manger moins et à maigrir! ». Mais perdre l’appétit n’est jamais bon signe… et perdre du poids pour cette raison l’est encore moins!
D’ailleurs, la perte d’appétit est particulièrement préoccupante et devient souvent un signal d’alarme chez les plus de 70 ans. Il est rarement recommandé de perdre du poids après cet âge. S’il nous est conseillé d’en perdre pour une raison médicale, nous devons le faire très graduellement pour éviter la perte de masse musculaire et le manque d’éléments nutritifs. Sinon, les conséquences peuvent être très néfastes sur la santé et la qualité de vie.
L’appétit et la faim sont des concepts très importants pour notre santé, et ce, à tout âge. Ils sont contrôlés par certaines des hormones produites par notre corps comme la leptine et la ghréline. Mais l’appétit et la faim sont affectés par plusieurs autres facteurs comme, entre autres, notre environnement, nos émotions et nos habitudes de vie.
Le corps humain est programmé pour envoyer des signaux de faim qui nous dictent quand et combien manger. Malheureusement, ces signaux peuvent être perdus ou faussés pour différentes raisons. Les aliments servent souvent à combler des fonctions autres que les « besoins de survie ».
La faim, pour diverses raisons, sera donc influencée de différentes façons. C’est pourquoi il est essentiel, autant en cas de manque d’appétit ou d’appétit plus grand que nécessaire, de porter une attention à nos besoins de base. Il nous faut comprendre pourquoi notre corps ne communique plus nos besoins réels.
La « faim du ventre » est couramment appelée la « vraie faim ». Elle se présente lorsque le corps doit combler un manque d’énergie et d’éléments nutritifs. En situation idéale, nous devrions ressentir cette faim aux environs du lever, et par la suite, aux 4-5 heures durant la journée. En cas de manque d’appétit, selon la cause et la durée de la perte de la faim, il faut chercher à recréer cette structure pour éviter des manques nutritifs importants. Souvent, si la personne ne peut manger suffisamment, il sera même conseillé de manger plus fréquemment (par exemple aux 2 heures). Nous pouvons aussi enrichir les repas au besoin.
La « faim de la bouche » est plutôt reliée aux saveurs des aliments. En effet, certains aliments sont consommés pour la principale raison d’avoir bon goût. Puisque les goûts diffèrent d’une personne à l’autre, cette faim est naturellement variable pour chacun. Les goûts sont partiellement innés, mais plus souvent acquis selon quels aliments ont fait partie de notre vie et ce qu’ils ont représenté pour nous.
Cette sorte de faim est tout de même importante puisqu’elle nous aide à combler la « faim du ventre », particulièrement en cas de manque d’appétit. La saveur de la nourriture peut certainement nous motiver à manger. À l’opposé, consommer des aliments pauvres en nutriments seulement parce qu’ils ont bon goût peut augmenter le risque de ne pas obtenir les éléments nutritifs nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Il peut également en résulter un apport énergétique excessif qui, lui aussi, peut avoir un effet négatif sur notre état de santé.
La « faim du cœur », quant à elle, représente le besoin de manger qu’ont plusieurs personnes lorsqu’ils vivent une émotion comme le stress, l’ennui, la tristesse, la joie… « Manger ses émotions », comme plusieurs appellent ce comportement, est acquis au travers de notre développement et de nos expériences de vie.
Lorsque nous étions enfants, nous avons tous déjà reçu un bonbon comme récompense ou été consolés avec une crème glacée ou un biscuit. Malheureusement, avec le temps, ces comportements peuvent prendre beaucoup d’ampleur et occasionner des excès nuisibles à la santé. Ce moyen légal, abordable et tellement accessible pour satisfaire les émotions est de plus en plus utilisé. D’ailleurs, les aliments gras, salés et sucrés augmenteraient la production de dopamine au cerveau et ainsi le sentiment de bien-être recherché.
Il est important d’être plus attentif à notre appétit et aux différentes raisons de manger ou de ne pas manger. Avant tout, il ne faut pas oublier que nous devons manger pour nous nourrir et pas seulement pour nous remplir.
Nous devons autant que possible écouter les signes reliés à la faim que nous envoie notre organisme. Savoir les reconnaître, les interpréter et les respecter peut par contre représenter un défi, surtout si ces signes ont été négligés avec le temps et les événements.
Si vous pensez avoir besoin d’aide à ce sujet, vous pouvez communiquer avec l’équipe de nutrition du Centre de santé communautaire de l’Estrie. Plusieurs de nos diététistes offrent aussi le programme de groupe « Craving Change », qui vise à aider les gens qui ont de la difficulté avec certains comportements alimentaires. N’hésitez pas à vous informer.
Mireille Marineau est diététiste au Centre de santé communautaire de l’Estrie à Cornwall en Ontario. Elle rencontre des clients de façon individuelle pour discuter de leurs objectifs nutritionnels et travaille avec eux pour améliorer leur alimentation. Selon les besoins de la communauté, elle offre également des programmes de groupe et présentations diverses.
* Cet article a été publié dans le magazine Vivre + de la FARFO, édition mai 2021.
Le CSCE est fier de contribuer à la bataille contre la COVID-19 en offrant, depuis le 27 avril 2021, des cliniques de vaccination.
Au total, 1100 personnes pourront recevoir leurs 2 doses du vaccin contre la COVID-19 directement au CSCE.
Les vaccins sont sûrs, efficaces et constituent le meilleur moyen de vous protéger, vous et votre entourage, contre des maladies graves comme la COVID-19. Les vaccins agissent sur votre système immunitaire, de sorte que votre corps sera prêt à combattre le virus si vous y êtes exposé. Cela peut réduire votre risque de contracter la COVID-19 et peut contribuer à atténuer vos symptômes si vous l’attrapez.
Dans le cadre du programme Vieillir chez soi et en partenariat avec l’Association canadienne pour la santé mentale (ACSM), prenez part à une série d’ateliers virtuels mensuels destinée aux personnes âgées (65 ans et plus).
Le thème de l’édition 2021 de la Semaine de l’action bénévole, La valeur de chacun, la force du nombre, rappelle les impressionnants actes de bonté accomplis par des millions de personnes, ainsi que la magie qui opère lorsque nous travaillons tous ensemble vers un but commun. Au cours de la dernière année, nous avons vu des gens aider leur famille, leurs amis, leurs voisins et de purs étrangers; des gens se lever contre le racisme systémique; et des gens partager leurs idées sur les différentes façons de créer une société plus juste et équitable. Nous reconnaissons la valeur de la bienveillance et de la compassion témoignées à l’égard d’autrui, ainsi que le pouvoir des particuliers, des organismes et des secteurs qui unissent leurs efforts.
#BenevolesSourcedeChangement : cela est vrai à bien des égards.
Que signifie « La valeur de chacun, la force du nombre » pour vous?
La Semaine de l’action bénévole est l’occasion idéale de célébrer, de reconnaître et de remercier les bénévoles. Elle permet également de sensibiliser la population à l’important travail accompli par des millions de bénévoles à l’échelle du Canada!
Les bénévoles sont essentiels au succès du CSCE. Leur talent ainsi que le temps et l’énergie qu’ils investissent comme bénévoles enrichissent notre travail.
Nous souhaitons que tous nos bénévoles vivent une expérience positive. Il est important que chaque bénévole se sente valorisé et acquière ou développe des habiletés tout en contribuant au bien-être de sa communauté.
Nous vous encourageons à poser votre candidature!
Cliquez ici pour en savoir plus.
Cornwall, 16 mars 2021 – Malgré la COVID-19, les jardins communautaires devraient pouvoir ouvrir ce printemps, pour le grand plaisir des jardiniers, bénévoles et partenaires (attente de la confirmation du Bureau de santé de l’est de l’Ontario). Bien sûr, des mesures de prévention des infections et de distanciation physique seront en vigueur.
« N’importe qui dans la communauté peut faire une demande pour avoir un jardin. Nous ne posons aucune question par rapport au revenu ou à la situation personnelle de nos jardiniers. Les jardins communautaires permettent bien sûr aux membres de la communauté d’accéder à des fruits et légumes frais, mais il y a d’autres avantages : être à l’extérieur, profiter du soleil et faire de l’exercice tout en jardinant en sont quelques exemples. Tous ces éléments permettent aux individus d’oublier leur stress durant un certain temps et aident leur santé mentale. », souligne Ivan Labelle, agent de santé communautaire et responsable des jardins communautaires à Cornwall.
« Je suis si heureuse dans mon jardin communautaire! En ce temps où rien n’est normal, le fait de jardiner est thérapeutique. Le partage qu’il y a entre les différents jardiniers est beau à voir. Quel plaisir de recevoir des fleurs d’ail, de la laitue, du kale… en plus des conseils des autres jardiniers! Vous permettez à des gens de semer et récolter du bonheur. » Martine, Cornwall
Seuls les plants annuels sont autorisés dans les jardins communautaires. « Haricots, carottes, oignons, concombres, tomates et laitues sont des exemples de plants acceptés. Nous n’autorisons pas les vivaces, car certaines variétés sont envahissantes et s’étendent beaucoup. », rappelle Ivan Labelle.
Les jardiniers doivent aussi s’assurer que les espaces communs demeurent propres et que les outils soient bien rangés. De nouveaux règlements ont évidemment dû être ajoutés en raison de la pandémie.
« La COVID-19 nous a obligés à faire certains ajustements. », mentionne Ivan Labelle. « Cette année, nous demandons aux jardiniers d’apporter leurs propres outils lorsque possible, de porter masque et gants, de désinfecter les surfaces, de laver leurs mains avant et après avoir jardiné, de respecter la distanciation physique et de ne pas se présenter s’ils ont des symptômes. De plus, les membres doivent signer un registre à l’entrée et les visiteurs ne sont pas autorisés. »
Même s’il y a une liste d’attente chaque année pour les deux jardins (Eco Parc ou Brookdale), il est fréquent que des lots se libèrent. Communiquez avec Ivan Labelle au 613 937-3132 poste 232 pour demander un lot. Des frais annuels de 15$ par lot s’appliquent.
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